HOMMAGE À DANIELE GAGLIANONE – Festival Viva il Cinema !
Catégorie : Autres événements
Samedi 7 mars | Salle Thélème | Tarif Viva il Cinema !
3, rue des Tanneurs, 37000 TOURS
Hommage à Daniele Gaglianone
En présence du réalisateur
Daniele Gaglianone (Ancône, 1966) a débuté sa carrière avec des courts métrages de fiction ou documentaires. En 1998, il assiste Gianni Amelio pour Così ridevano. Ensuite il réalise des longs métrages, notamment I nostri anni (2000) sélectionné à Cannes, Nemmeno il destino (2004) multi-primé, Rata nece biti (2008) Prix spécial du jury au Festival du Film de Turin et David di Donatello du meilleur documentaire, et plus récemment La mia classe (2013) et Dove bisogna stare (2018). Entre fiction et documentaire, ses réalisations témoignent d’une œuvre engagée dans la société d’aujourd’hui.
10h – DOVE BISOGNA STARE (Où il faut être) – Italie, 2018, 98 minutes
Un film de Daniele Gaglianone et Stefano Collizzolli avec Georgia Borderi, Jessica Cosenza, Lorena Fornasier, Elena Pozzallo
Ce film documentaire, soutenu par Médecins Sans Frontières Italie, dresse le portrait de quatre femmes d’âge, de région et de milieu professionnel très différents. Un fil les relie : leur engagement dans la lutte contre l’exclusion et leur soutien aux migrants. Les situations de détresse auxquelles elles doivent faire face les amènent à chercher leur propre réponse à la question que pose le titre du film. Leurs choix incarnent une forme de courage et d’humanité remarquable.
17h – LA MIA CLASSE (Ma classe) – Italie, 2013, 92 minutes
Un film de Daniele Gaglianone avec Valerio Mastandrea, Bassirou Ballde, Mamon Bhuiyan
Un enseignant (Valerio Mastandrea) rencontre régulièrement sa classe, un groupe singulier, composé d’étrangers qui jouent leur propre situation. Ils sont là pour apprendre l’italien, sésame qui leur permettra d’obtenir titre de séjour, travail et bien sûr intégration. Au-delà des échanges liés à l’apprentissage de la langue, ces réfugiés, venus des quatre coins du monde, apportent en cours l’expérience de leur vécu en Italie et ailleurs. Lors du tournage, le film va changer de registre pour devenir une vraie fiction qui ne peut laisser indifférent.
La Mia classe