NE CROYEZ SURTOUT PAS QUE JE HURLE Inédit en salle à Tours
Catégorie : Diffusions mensuelles
Mercredi 15 février 2023 | 19h30
Cinémas Studio – salle 1
2, rue des Ursulines, à Tours | Séance unique | Inédit à Tours | Participation libre
NE CROYEZ SURTOUT PAS QUE JE HURLE
Frank Beauvais
France, 2019, 76 minutes
L’histoire amoureuse qui m’avait amené dans le village d’Alsace où je vis est terminée depuis six mois.
À 45 ans, je me retrouve désormais seul, sans voiture, sans emploi ni réelle perspective d’avenir, en plein cœur d’une nature luxuriante dont la proximité ne suffit pas à apaiser le désarroi profond dans lequel je suis plongé.
La France, encore sous le choc des attentats de novembre, est en état d’urgence.
Je me sens impuissant, j’étouffe d’une rage contenue.
Perdu, je visionne quatre à cinq films par jour.
Je décide de restituer ce marasme, non pas en prenant la caméra
mais en utilisant des plans issus du flot de films que je regarde. »
Frank Beauvais
Sélections :
2019 • IDFA – International Documentary Festival Amsterdam • Amsterdam • IDFA Competition for Creative Use of Archive
2019 • RIDM – Rencontres Internationales du Documentaire de Montréal • Montréal • Compétition internationale longs métrages
2019 • Doclisboa – Festival Internacional de Cinema Documental • Lisbonne • Compétition internationale
2019 • Festival International du Film de La Rochelle • Sélection Ici et Ailleurs
2019 • Festival international du film de Berlin – Berlinale • Section Forum
2019 • Cinéma du réel • Paris • Film de clôture
Frank Beauvais
Mélomane et cinéphile dévorant, Frank Beauvais a réalisé neuf courts métrages marqués par l’expérimentation et le found footage. Avec Ne croyez surtout pas que je hurle, son premier long, il compose une partition voix et images extraites de centaines de films, pour une chronique sur l’intime et le politique. (Source : Tënk)
Mélomane et cinéphile dévorant, Frank Beauvais a réalisé neuf courts métrages marqués par l’expérimentation et le found footage. Avec Ne croyez surtout pas que je hurle, son premier long, il compose une partition voix et images extraites de centaines de films, pour une chronique sur l’intime et le politique. (Source : Tënk)